Shakespeare : la gloire de l’amour, c’est la femme
La femme du XVIIème siècle semblait condamnée à l’hystérie et au lunatisme. Mais Shakespeare l’a arrachée aux griffes des furies chimériques pour l’asseoir sur son véritable trône : celui de l’amour. Montrons qu’il n’y a rien de plus noble et de plus stable que le sentiment profond d’une femme. « Souvent femme varie, bien fol est…