« Eugène Onéguine » : Pouchkine en peintre de la vie moderne
Œuvre virtuose à la sève poétique intraduisible, forgée à la croisée des titans apolliniens, rimée comme La Divine Comédie (1321) et en grand mètre iambique comme Le Paradis perdu (1667), Eugène Onéguine (1833) est un évangile du moderne. Reprise un peu moins de 50 ans plus tard par Tchaïkovsky, compositeur sur l’Olympe de la musique…