« Voyage au bout de la nuit » : une critique du prolétariat universel
Le voyage entrepris par Bardamu n’est pas celui du Michel de Gide, du Gilles de Drieu, du Patrice de Déon ou du Marcel de Proust, c’est à dire l’excursion d’un oisif tenu à l’écart du besoin, mais le chemin d’errances d’un nécessiteux ballotté entre emploi et chômage. Ainsi, plus que le roman de voyage que…