La religion de Balzac ou la seconde vue de Philippe Muray (II)
Il est convenu de réduire Balzac au réalisme français ; cette caricature résonne déjà comme une ténébreuse affaire. Avec un ton pamphlétaire qui rejoint, d’après lui, l’intention souterraine de la Comédie humaine, Philippe Muray s’applique à retourner la recherche de l’Absolu en mystère(s) du romantisme, nous révélant son vrai visage : avant d’être un mouvement…