Sérotonine : quand Michel Houellebecq s’intoxique avec son nihilisme

Dans Sérotonine (Flammarion), Michel Houellebecq évoque l’amour comme une possibilité de salut face à la misère de l’époque contemporaine. Mais, embourbé dans le nihilisme qu’il dépeint, ce nouveau roman n’est que la énième chronique d’un néant spirituel qui contamine jusqu’à son écriture. À l’époque, François n’avait rien à regretter. Soumission, le précédent roman de Michel…

Continuer la lecture