Jean d’Ormesson : pourquoi la « littérature du bonheur » est l’antilittérature

Le décès de Jean d’Ormesson donnera lieu à des éloges sans doute exagérés. Dans ce concert de louanges saluant « le meilleur de l’esprit français », d’autres ne manqueront pas d’attaquer avec un malin plaisir le talent incertain d’une personnalité agaçante. Mais la question essentielle est au-delà : la littérature qu’il voulait incarner est-elle véritablement de…

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